Direction Artistique - Curatrice - Architecte 

PÉRIFÉERIES  2028 


2022 - Saint Denis


Périféeries 2028 est le nom de la candidature du territoire de Saint-Denis, Plaine Commune et de la Seine-Saint-Denis au titre de Capitale européenne de la culture 2028.© DR



    Péeriféeries2028.eu
   
Conférence de presse : Ville du lien, ville de la culture - 13 décembre 2022 - Saint-Denis.
L'Humanité, La Basilique, La mairie



On dit de Saint-Denis que c’est une banlieue ou une périphérie, ce qui ouvre une porte sur un centre qui serait ailleurs. Pourtant, Saint-Denis est un cœur de ville connecté à tout le territoire parisien et de l’Ile-de-France, un cœur battant…du monde : 150 langues présentes, 1/3 des habitants issus des mouvements migratoires passés et contemporains, un passé industriel ouvrier, le département le plus jeune et le plus pauvre de France. Cœur battant de l’histoire de France aussi : la Basilique Saint-Denis, nécropole royale est bien posée là au milieu de la cité. A Saint-Denis sont juxtaposés une histoire des rois, un passé ouvrier et un présent habité par les migrations dans l’une des régions les plus dynamiques d’Europe. Il n’y a pas une culture mais une mosaïque de cultures. Il n’existe pas une histoire mais des histoires. Les termes qui fixent cette aire urbaine se déclinent au pluriel, au plus loin des stéréotypes.

Devenir capitale de la culture, c’est construire un monde commun par des pratiques, des usages, des imaginaires, des rêves qui donneront l’un des visages de la République de demain, plus solidaire et plus unie. Par la culture, pas d’asphyxie, mais des passions joyeuses, des liens à même de faire advenir un espace des possibles, un prendre soin des habitants dans leur territoire sans perdre l’horizon du monde.

Vivre ensemble c'est accepter l'altérité, le métissage, l'hybridation, l'impertinence.

L'art et la création sont les meilleurs outils pédagogiques pour faire des citoyens européens éclairés pour une Eur(h)ope, suites aux multiples crises actuelles, le  (h)ope , soit l’ espoir est essentiel. Périfééries 2028, le réenchantement est possible !


Fiona MEADOWS et Fabienne Brugère, co présidente de Périfééries 2028.


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La ManifestA(r)Tion - 16 décembre 2022



Rejoignez La ManifestA(r)Tion! - Parade pour amener le BBook au ministère de la Culture,Saint-Denis, Paris



L’art doit sortir dans la rue, l’art doit se confronter aux citoyens, l’art doit questionner le monde.

Les images de référence qui ont déclenché cette idée sont celles des suffragettes et de leur costume de militant utilisé aux États-Unis pour revendiquer le droit de vote des femmes. Ces femmes sandwich ont repris la forme de l’homme-sandwich (sandwich-board person en anglais). Ce dernier a fait son apparition à Londres, vers 1820, pour éviter de devoir payer une taxe sur les enseignes. Il porte sur la poitrine et sur le dos deux panonceaux reliés par des bretelles. L’expression d’homme-sandwich fait allusion à l’image de l’homme pris en « sandwich » entre ses deux panneaux, comme l’est la garniture du sandwich enserrée entre les deux morceaux de pain. On retrouve encore, au début du XXIe siècle, ce petit métier de porteurs ambulant de pancarte publicitaire principalement à Londres et Dublin.

En art, on retrouve aussi la figure de l’homme sandwich, ne prenant que deux exemples parmi d’autres avec Buren et Picabia. Ces deux artistes questionnent différemment le rapport de l’art dans la ville. Buren, pour une performance en 1968 fait déambuler dans Paris deux hommes-sandwich pris dans ses oeuvres : des panneaux rayés en vert et blanc. Ses oeuvres d’art se déplaçant vers les citoyens/spectateurs, il instaure ainsi l’effet inverse des musées, où ce sont les spectateurs qui tournent autour des oeuvres. Quant à Picabia, il décide de mettre une personnalité en sandwich : André Breton. Lors du festival Dada de 1920, Breton porte les pancartes-sandwich de Picabia. C’est une image à l’esthétique dadaïste, une cible peinte et un texte : « Pour que vous aimiez quelque chose, il faut que vous l’ayez vu et entendu depuis longtemps tas d’idiots ». Le message est simple, il faut sortir et découvrir pour ne pas rester dans l’ignorance. Et justement, aller voir une exposition, c’est sortir de notre quotidien pour aller voir des oeuvres d’artistes qui questionnent le monde ! Nous sommes tous métaphoriquement pris en sandwich, pour une raison x ou y, nous portons nos vêtements comme symbole de qui nous sommes, alors pourquoi ne pas les revêtir de mots pour porter nos idées ?

Saint Denis, ville pop(ulaire) du 93 connue pour être militante contre le conformisme et l’injustice, invite ses enfants Citoyens, l'assemblée des Enfants, représenté par deux classes de primaire de Saint-Denis et de la Courneuve à rejoindre la ManifestA(R)Tion ! pour remettre le Book de la candidature de Saint-Denis pour être la Capitale Européenne de la Culture en 2028 au Maire de Saint-Denis. Celui-ci le remettra immédiatement à notre Ministre de la culture. Les enfants portent les slogans, les mots clefs de notre candidature et sont aux couleurs de l'Europe.

Le rendez-vous pour cette remise n'est pas n'importe où. Elle se fait sur la place publique des colonnes de Buren au Palais Royale à Paris, où les lignes noires et blanches cohabitent harmonieusement ensemble.

Notre candidature représente celle de la jeunesse, celles des nouvelles cultures. Désormais la marge est aussi le centre et invite et stimule notre France, notre Europe.

Périfééries 2028, le réenchantement est possible !


Fiona Meadows - directrice artistique de cette parade

co présidente de périféeries 2028 et remerciement à Sophie du collège des citoyens





Autres vidéos :


Saint-Denis a déposé sa candidature pour devenir capitale européenne de la culture 2028

Seine-Denis rêve de devenir la capitale européenne de la Culture


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La Brigades des fées
- 2022 - action culturelle proposée par Fiona Meadows, responsable du groupe citoyen



Quand les créateurs et citoyens se rencontrent

Pour irriguer le territoire d'art et de culture, une brigade de créateurs et de créatifs est mise en place, composée de multiples professionnels de champs disciplinaires artistiques, allant de l’artiste plasticien au musicien, au cuisinier et à l’architecte, du danseur au céramiste, du circassien au styliste, venant en majorité du 93 mais aussi nationaux et européens.



Les "brigadistes" sont adressés à des groupes citoyens du territoire de la candidature Périféeries 28, trop souvent éloignés de la culture, et représentants des minorités multiples sur la zone géographique de la candidature 2028 (personnes âgées, migrants, détenus, personnes hospitalisées, chômeurs, travailleurs, etc). Comme une brigade de cuisinier, chaque membre est essentiel pour la dynamique collective car tous vont concevoir des ateliers artistiques autour d’un même thème, à partir de leurs pratiques et disciplines singulières et spécifiques. Pour l’année test qu’est 2022, il s’agit de partir du thème de l’hospitalité avec une brigade de 15 créateurs et 15 groupes dans les 7 quartiers de Saint-Denis et les 8 autres villes de Plaine Commune lors d’un atelier de 3h qui sera filmé par un vidéaste.



Par la suite, chaque membre de la brigade ne pourra intervenir que deux fois par an avec deux groupes de villes ou quartiers différents lors d’un atelier de 25h et devra organiser une sortie culturelle liée à son projet. Un thème différent sera proposé chaque année, il sera demandé comme rendu intermédiaire, une rencontre entre groupes participants afin d’échanger sur les démarches et les pratiques. La restitution sera collective et permettra de voir la richesse des propositions possibles du monde des créateurs, face à une même problématique en co-création avec des citoyens lors d’une fête collective.



Un site internet sera dédié pour ce programme, pour à la fois présenter les membres de la brigade et permettre aux internautes de découvrir des créateurs, et leur parcours professionnel individuel ainsi que des disciplines artistiques. De plus, il permettra de découvrir les nombreuses propositions artistiques et la restitution de chaque groupe de citoyens.



Il faut faire surgir une expérience unique, aller chercher des groupes en marge du territoire de l'art et de la culture, pour créer un réseau de clusters créatifs. Se confronter à la création afin de permettre l’émancipation, de s‘ouvrir et d’être sensible au monde qui nous entoure, de ne pas être juste spectateur auprès d’un artiste mais témoin  de son processus créatif.


Fiona Meadows

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Porte (ton) drapeau !
-2021/2022 - Un étend’art pour la culture en Périféerie 28, jeu proposé par Fiona Meadows, commissaire et conçu par les soeurs Chevalmes


Vous incarnez un idéal pour Saint-Denis et sa candidature pour la capitale Européenne de la Culture, vous allez imaginer le drapeau de votre quartier, qui l’incarne. En quelque sorte, vous serez le porte drapeau d’un mouvement nouveau pour la culture pour tous.

Le drapeau a toujours été une pièce d’étoffe accrochée à une hampe qui représente par son identité graphique un groupe, une communauté, une organisation, un évènement, … De géométrie rectangulaire, de deux unités de hauteur et trois de largeur, grâce à ses couleurs, ses emblèmes permettent de se distinguer et d’être un signal, un message.



Certain drapeau, comme le drapeau blanc a une signification universelle pour demander un instant de trêve ; ou bien, comme, le drapeau olympique de couleurs bleu, jaune, noir, vert et rouge, qui représente tous les pays du monde car tous les drapeaux nationaux possèdent au moins une de ces six couleurs (en comptant le blanc pour la couleur du fond), et aussi car le nombre des anneaux représentent les cinq continents ; ou encore, comme le drapeau européen décoré de douze étoiles d'or à cinq branches.



Imaginez votre drapeau pour votre quartier, votre école, … à partir du jeu proposé par les graphistes Les Soeurs Chevalmes.

Ils seront présentés dans l’espace public, sur la façade d’édifice public ou lors de défilés et cortèges. Une exposition retracera cette aventure.

Fiona Meadows


Le jeu des drapeaux


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TRIBUNE. « Nous sommes Périféeries » : pour faire de la Seine-Saint-Denis la capitale européenne de la culture

De nombreux acteurs politiques et culturels de Seine-Saint-Denis défendent la candidature Périféeries 2028 pour faire du territoire la Capitale européenne de la culture cette année-là.


  Nous sommes la ville de Saint-Denis, le territoire de Plaine Commune.
Nous sommes la Seine-Saint-Denis. Nous sommes une partie d'un tout qui explore les sentiers de la métropole et les confins de la planète ; un échantillon extraordinaire du monde entier, un tableau de ce qu’il pourrait être demain. Comme le disait la philosophe Hannah Arendt, nous touchons l’universalité grâce à notre multiculturalité.

Nous sommes le béton, la terre, le passé maraîcher et industriel. Nous sommes la diversité culturelle et linguistique, les cultures minoritaires qui deviennent majoritaires, là où les tendances naissent et se déploient. Nous sommes la création, l’innovation, le rayonnement culturel et l’entrepreneuriat. Nous sommes la concentration des défis écologiques, économiques et sociaux auxquels il nous faut répondre dès à présent. Nous sommes la ville du “faire”, la ville-atelier qui réhabilite le travail.

Nous sommes fiers de ce passé ouvrier et d’un présent habité par les migrations. Nous sommes un territoire de contraste au sein de l’une des régions les plus dynamiques d’Europe : la preuve qu’il n’existe pas une histoire, mais des histoires, tout comme il n’y a pas une culture mais une mosaïque de cultures.

Nous portons les désirs d’habitantes et d’habitants de toute l’Europe, celles et ceux qui sont désignés comme un “à côté” ou relégués. Aujourd’hui, elles et ils font retentir leurs identités singulières : Molenbeek dans Bruxelles, Eleusis aux portes d'Athènes, Kaunas devant Vilnius, ou bien encore Liberec, Brno ou Ceske Budejovice en République Tchèque, Oeiras au Portugal et encore plus loin à Kiev ou Oakland. Ces histoires et ces récits, nous leur donnerons droit de cité afin qu'ils ne soient plus au ban d'une modernité qui n'aura pas la moindre chance de se construire sans eux.

Désirs de nature, de liens sociaux et de rencontre, désirs de circulation, d’espace et d’égalité. Nous sommes nombreuses et nombreux à désirer que les métropoles deviennent plus hospitalières, plus joyeuses, plus justes, qu’elles prennent soin de nos parcelles d’humanité.

Être capitale européenne de la culture, c’est pouvoir déployer des réalisations culturelles plurielles, des expérimentations et des pratiques collectives, des écritures et des récits, des liens sociaux renforcés, parmi bien d’autres choses. C’est créer du mouvement dans la perspective d’une société ouverte, qui sait accueillir les différences et les vulnérabilités, donner le goût des autres, donner refuge et asile.

Dans un contexte de repli sur soi, de tensions identitaires, de perte de repères ou de bouleversements mondiaux, ce label européen est une chance, un levier pour nos territoires. Il sera une fenêtre d'opportunité pour nous permettre de faire la démonstration du vivre ensemble. Un mot qui bien trop vite a été rangé sur une étagère. Nous montrerons la ville culturelle qui vient, celle des utopies réalistes. Nous serons la ville équilibrée, ouverte à toutes et tous, populaire et inclusive.

Être capitale européenne de la culture, c’est refuser l’assignation à résidence et les identités imposées ; c’est être au plus loin des stéréotypes. C’est être l’ancien et le nouveau, la mémoire de la royauté et le hip hop, les tiers-lieux et le théâtre d’avant-garde, pour nourrir l’imaginaire de celles et de ceux qui font déjà notre demain. En écho aux Mystères d’Eleusis, ville antique sacrée, Saint-Denis, capitale européenne de la culture en 2028, créera les Nouvelles Mythologies de la périphérie, elle en aura enfin les moyens et les regards bienveillants posés sur elle.

Être capitale européenne de la culture, c’est se donner les moyens de devenir un laboratoire du futur qui croit encore à la possibilité d’un monde meilleur. Être capitale culturelle, c’est accueillir le monde, lui montrer tout ce que la culture peut nous apporter, transmettre cet “amour des marges” qui nous rassemble. A Saint-Denis, en Seine-Saint-Denis, nous accueillons déjà l’Europe et le monde entier, et nous continuerons de le faire, pour aujourd’hui et demain, en 2024 et en 2028.

Nous, actrices et acteurs de la vie culturelle, sportive, associative, éducative, intellectuels, chercheuses et chercheurs, femmes et hommes politiques de la Seine-Saint-Denis, nous vous le disons : dans cette candidature, vous êtes déjà chez vous !


Signataires :

Fiona Meadows, architecte et Fabienne Brugère, philosophe, co-présidentes de Périféeries;

Mathieu Hanotin, maire de Saint-Denis, président de Plaine Commune;

Stéphane Troussel, président du Département de la Seine-Saint-Denis, Nadège Grosbois maire-adjointe à la culture et au patrimoine ville de Saint-Denis, Stéphane Peu, député de Seine-Saint-Denis ;

Karim Bouamrane, Maire de Saint-Ouen sur Seine, vice-président du Département de la Seine-Saint-Denis ;

Leyla Temel, Conseillère en charge de la stratégie culturelle, du tourisme et du patrimoine, Plaine Commune ;

Mohamed Bouhafsi, journaliste ;

Lauranne Germond, directrice de Coal ;

Soa de Muse, performeuse;

Claire Doutriaux, réalisatrice Arte-France;

Bernard Latarjet, Laurent Dumas, président du conseil de surveillance d’Emerige,

Arthur Toscan du Plantier, Directeur de la RSE et du Mecenat d’Emerige;

Francis Dubrac, President de la chambre de métiers et de l’artisanat de la Seine Saint-Denis,

Marie-José Malis, directrice du Theâtre de la Commune,

Erminie Blondel, artiste lyrique;

Beatriz Kayzel, regisseur;

Chouf, poète ;

Claire Lapeyre Mazerat, metteuse en scène ,

Patrick Braouezec, ancien Président de Plaine Commune,

Vincent Puig et Anne Kunvari, IRI-Beaubourg;

Alexandre Vallès, président de Garde Robe, Collectif FAIR-E / CCN de Rennes et de Bretagne;

Sandrina Martins, directrice générale du Carreau du Temple,

Yves-Samuel Trotoux, CECB Le Bourget, Serge Santos, administrateur de la basilique cathédrale Saint-Denis,

Elefterios Kechagliou, directeur du Plus Petit Cirque du Monde à Bagneux;

Julie Deliquet, directrice du théâtre Gérard Philipe,

Jean Bellorini, directeur du TNP de Villeurbanne,

Julien de Saint-Jores, directeur de Suivez la Flêche;

Jeanne-Marie Monpeurt, graphiste, Laure Gayet, urbaniste Legendes Urbaines;

Amélie Billault, directrice de Making Waves,

Antoine Villey, fondateur de Camion Scratch;

Sophie Guenebaud et Pierre Brini, Le Laba;

Cyrille Garbit, comédien;

Gregoire Leibel, graphiste,

Wassyl Abdoun-Tamzali, président de l’association Grand Angle,

Lamyne M, artiste;

Sarah Mathon et Sophia Antoine, co-directrices artistiques de la Compagnie L'île de La Tortue / Clichy-sous-Bois,

Danielle Dubrac, Présidente de la CCI de Paris Seine Saint Denis,

Cathy Bouvard et Renan Benyamina, co-directeurs des ateliers Medicis;

Olivier Darné, plasticien / Parti Poétique,

Timothee Lejolivet, Danseur Photographe, BadTripCrew / artistes,

Marina de Remedios / Flamenca,

Carole Leibel, educatrice spécialisée;

Alexia Pereira, association Maestra pour la Cité des Fauvettes à Pierrefitte;

Sophie Ilic, le Tipi audonien;

Pouria Amirshahi, directeur départemental;

Jean-François Marguerin,

Samia Chabani, Ancrages, centre de ressources Histoire des migrations Marseille,

Laure Colliex Co-Presidente POUSH,

Nathalie Rappaport, directrice du Festival de Saint-Denis / Festival Métis Plaine Commune,

Juliette Donadieu, Art Explora, co fondatrice programme Oakland/Saint-Denis,

Jean-Francois Chougnet, directeur de musée;

Malo Garnier, collectif L’écluse et Kumquat;

Estelle Bertin artiste cie La Pépite;

Patrick Bouchain, urbaniste;

Jean-Christophe Levassor, directeur de la Condition Publique à Roubaix,

Florence Themia, directrice de radio Declic,

Guillaume le Blanc, philosophe, Université Paris Cité,

Anne Poirier-Busson - Collectif Corridor,

Anne-Marie Autissier, professeur émérite Paris 8,

Valérie Suner, directrice La Poudrerie Théâtre

des Habitants à Sevran,

Xavier Lemettre, directeur de Banlieues Bleues;

Laurent Callonnec, directeur du cinéma l’Ecran, Estelle Meyer, comédienne et chanteuse;

Laurie Lefèvre; habitante; Valia Kardi, programmatrice;

Martin Colcher, président de Clubeee, Rabia Enckell, urbaniste Courtoisie Urbaine;

Lucie Lambert, directrice de Mains d’Oeuvres;

Olivier Le Gal et David Georges-François co-responsables du Collectif MU - La Station Gare des Mines;

Saïdo Lehlouh, chorégraphe;

Matthieu Mainpin, médiateur social;

Véronique Bedu, présidente CracBoomHue;

Yvan Loiseau, performeur;

Luna Granada, La tête ailleurs,

Maria Gravari Barbas, Professeure, université Paris 1 Pantheon  Sorbonne,

Fred Louisor, artiste,

Naidra Ayadi, actrice et réalisatrice,

Nicolas Obadia cofondateur du Mur 93,

Thibault Saladin réalisateur,

Richard Nathan président Du Coq à l’Âne,

Noemie Sauve artiste et co-fondatrice du Fonds d’Art Contemporain Agricole de l’association Clinamen,

Stéphane Simonin, directeur de l’Académie Fratellini;

Marie Picard et Emmanuel Vergès productrice et ingénieur

Culture Pixelle, J Suzanne Hubert et Georges Quidet, galerie HCE;

Dieunor Excellent, Maire de Villetaneuse,

Hervé Chevreau, Maire d’Epinay sur Seine,

Karim Adda, acteur et réalisateur,

Christian Baumard, producteur Kabo productions,

Gilles Leroux, auteur,

Mohamed Gnabaly, Maire de L'Ile-Saint-Denis,

Azzédine Taïbi, Maire de Stains,

Frédérique Épin, chanteuse, professeur de chant;

Jean-François Paux, acteur culturel;

Klio Krajewska, curatrice;

Aurélien Fayet, président de l'AMuLoP,

Elie Preveral, cooperative Pointcarré,

Vincent Lamy et Aurélien Guinard, Le-CaC (le cabinet comptable Expert des métiers de la culture);

Mathieu Glaymann, Co-directeur de la Régie de quartiers de Saint-Denis,

Olivier Linglet, Manager d’artistes et éditeur musical,

Margot Videcoq, Laboratoires d’Aubervilliers ;

Jonas Ramuz, Président de Quai 36 ;

Olivier Meier, Seine-Saint-Denis Tourisme,

Jacky Berton, artiste,

Virgile "Amour" Garcia, artiste;

Mulunesh Tebebu, artiste; Adélaïde Desseauve; Association Adrisse le Royaume;

Clarisse Tognella, Michel Fourcade, maire de Pierrefitte;

Karine Franclet, Maire d'Aubervilliers ;

Le Joli Mai, café associatif à Saint-Ouen;

José Alfarroba, ancien directeur du Théâtre de Vanves, salle conventionnée danse et créateur du Festival ArtDanThé;

Emmanuel Bellanger, directeur de recherche du CNRS, directeur du CHS ;

Danielle Tartakowsky, historienne ancienne présidente de l’université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis,

Léa Malpart, directrice générale d’Objectif Emploi / mission locale Saint-Denis - Pierrefitte,

Elsa Sarfati, directrice de l’Espace 1789,

Domitille Pestre association fable-Lab,

Sylvie Vassalo, directrice du Salon du Livre et de la Presse Jeunesse,

Maxime Perrin, musicien jazz,

Mayeul Beaudet, coordinateur de la SCIC La Main- Foncièrement culturelle,

Aziz Djemaï, El Mawsili, école de musique arabo-andalouse,

Pauline De Coulhac, directrice artistique Les Grandes Personnes,

Laetitia Chauvin, critique d’art et éditrice,

Julie Peghini, anthropologue, Université Paris 8 Vincennes Saint- Denis,

Arnaud Regnauld, vice-président à la recherche, Université Paris 8 Vincennes Saint-Denis,

Benoît Labourdette, Philippe Decouflé et Frank Piquard, Compagnie DCA,

Sophie Wauquier, Vice-Présidente des Relations Internationales, Université Paris 8


Sébastien Lagrave, directeur du festival Africolor


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